Pas de Réferendum !
Le Mouvement Gaulliste s'oppose formellement à la tenue d'un nouveau referendum sur le Traité européen modifié.
Par principe et nature, le Gaullisme s'oppose au dévoiement des institutions et des actes publics. Il n'est donc pas possible de transformer l'opposition manifestée par le scrutin en 2005, lors du Réferendum à la tenue duquel nous n'étions pas favorable, et auquel nous avions appelé à voter NON.
Le sort majeur du pays ne peut se jouer par referendum. Surtout dans l'ambiance truquée de notre époque et l'entente universelle des puissances de déstabilisation. Les modifications inscrites dans les différentes formules du traité n'avaient pas lieu de voir le jour, elles sont une trahison et une insulte.
Le Mouvement Gaulliste ne soutiendra pas une éventuelle campagne pour voter non à un nouveau referendum s'il survenait. Il s'oppose à la tenue d'un nouveau referendum. Il s'oppose aux manoeuvres, celles du pouvoir qui par manipulation du texte originel, entend passer outre le résultat du vote de 2005, et celles des pseudos-opposants qui se sont empressés d'appeler à voter pour Sarkozy aux dernières élections présidentielles, et qui maintenant voudraient, sans doute pour entretenir l'illusion de leur carrière, tromper le Peuple Français en lui faisant entrevoir la possibilité d'un nouveau scrutin référendaire dont, comme il l'a été maintes fois dit, il ne sera pas tenu compte.
Les Français, enfermés dans leur obstination à reconduire toujours les mêmes, devront supporter la marche légalement prévue par des pouvoirs qu'ils ont désignés. Ils devront, pour avoir sans cesse, par leur aveuglement et leur lâcheté, formé l'actuel état des choses, le supporter et s'y soumettre, puisque, peuple d'esclaves, ils ne savent rien d'autre que choisir sans hésitation ce qui mauvais.
Cet ordre nouveau, formé dans l'abjection, sera le sort des esclaves. Ceux qui ne le sont pas tireront, pour leur part, les conséquences.
Mouvement Gaulliste
Par principe et nature, le Gaullisme s'oppose au dévoiement des institutions et des actes publics. Il n'est donc pas possible de transformer l'opposition manifestée par le scrutin en 2005, lors du Réferendum à la tenue duquel nous n'étions pas favorable, et auquel nous avions appelé à voter NON.
Le sort majeur du pays ne peut se jouer par referendum. Surtout dans l'ambiance truquée de notre époque et l'entente universelle des puissances de déstabilisation. Les modifications inscrites dans les différentes formules du traité n'avaient pas lieu de voir le jour, elles sont une trahison et une insulte.
Le Mouvement Gaulliste ne soutiendra pas une éventuelle campagne pour voter non à un nouveau referendum s'il survenait. Il s'oppose à la tenue d'un nouveau referendum. Il s'oppose aux manoeuvres, celles du pouvoir qui par manipulation du texte originel, entend passer outre le résultat du vote de 2005, et celles des pseudos-opposants qui se sont empressés d'appeler à voter pour Sarkozy aux dernières élections présidentielles, et qui maintenant voudraient, sans doute pour entretenir l'illusion de leur carrière, tromper le Peuple Français en lui faisant entrevoir la possibilité d'un nouveau scrutin référendaire dont, comme il l'a été maintes fois dit, il ne sera pas tenu compte.
Les Français, enfermés dans leur obstination à reconduire toujours les mêmes, devront supporter la marche légalement prévue par des pouvoirs qu'ils ont désignés. Ils devront, pour avoir sans cesse, par leur aveuglement et leur lâcheté, formé l'actuel état des choses, le supporter et s'y soumettre, puisque, peuple d'esclaves, ils ne savent rien d'autre que choisir sans hésitation ce qui mauvais.
Cet ordre nouveau, formé dans l'abjection, sera le sort des esclaves. Ceux qui ne le sont pas tireront, pour leur part, les conséquences.
Mouvement Gaulliste