Un Gouvernement et un pouvoir indignes
A ceux qui disent : la France a assez duré ; à ceux qui pensent : cela va continuer ; à ceux-là, et aux autres, je dis : ils se trompent, de la quantité exacte qui sépare exactions, barbarie, trahison, de la patience extrême que nous avons conservée jusque ici.
C'en est fini, bel et bien, et définitivement, de cette patience.
Monsieur le Président de la République, Monsieur le Président du Sénat, Monsieur de Villepin,
- Je demande l'expulsion sans préavis à compter de ce jour de tous ceux qui commettront violence petite ou grande à l'égard de Français ou de la France.
- J'appelle à l'évidence immédiate de devoir mettre sous surveillance militaire par la Légion Etrangère et par les unités d'élite les quartiers dangereux.
- J'exige la dissolution immédiate du Conseil Musulman, sans aucune valeur légale.
- Je demande la cessation de l'octroi des aides financières annuelles, qui se chiffrent en millions d'euros, détournées de son ayant-droit, le Peuple Français, dont la jeunesse mendie dans les rues, au profit de l'Algérie par l'état factuel.
- J'invoque à devoir considérer pour évident en nécessité comme en dignité, le rappel des diplomates français accrédités auprès de pays terroristes.
- J'affirme, si l'ordre n'est pas rétabli, si la paix est à nouveau violée, que le pouvoir qui s'est mis en faute subira la réplique qu'il est en droit d'escompter.
Dès à présent, les Gaullistes doivent prendre leurs responsabilités et ils les prendront.
Le Mouvement Gaulliste, que je représente et entends représenter et au-delà, prendra ses responsabilités politiques, notamment devant les urnes, souhaitant que chaque Français conscient prenne désormais les siennes.
Prêt à parer à toute éventualité, j'affirme au pays, que force restera à la France, à sa Liberté et à son Histoire. Ceci par les moyens adéquats auxquels nous serions amenés à conclure.
Pour ma part, j'assumerai, si besoin, la responsabilité de redonner au pays ce qui lui manque aujourd'hui, qui lui manque depuis si longtemps.
Michel THOMAS
C'en est fini, bel et bien, et définitivement, de cette patience.
Monsieur le Président de la République, Monsieur le Président du Sénat, Monsieur de Villepin,
- Je demande l'expulsion sans préavis à compter de ce jour de tous ceux qui commettront violence petite ou grande à l'égard de Français ou de la France.
- J'appelle à l'évidence immédiate de devoir mettre sous surveillance militaire par la Légion Etrangère et par les unités d'élite les quartiers dangereux.
- J'exige la dissolution immédiate du Conseil Musulman, sans aucune valeur légale.
- Je demande la cessation de l'octroi des aides financières annuelles, qui se chiffrent en millions d'euros, détournées de son ayant-droit, le Peuple Français, dont la jeunesse mendie dans les rues, au profit de l'Algérie par l'état factuel.
- J'invoque à devoir considérer pour évident en nécessité comme en dignité, le rappel des diplomates français accrédités auprès de pays terroristes.
- J'affirme, si l'ordre n'est pas rétabli, si la paix est à nouveau violée, que le pouvoir qui s'est mis en faute subira la réplique qu'il est en droit d'escompter.
Dès à présent, les Gaullistes doivent prendre leurs responsabilités et ils les prendront.
Le Mouvement Gaulliste, que je représente et entends représenter et au-delà, prendra ses responsabilités politiques, notamment devant les urnes, souhaitant que chaque Français conscient prenne désormais les siennes.
Prêt à parer à toute éventualité, j'affirme au pays, que force restera à la France, à sa Liberté et à son Histoire. Ceci par les moyens adéquats auxquels nous serions amenés à conclure.
Pour ma part, j'assumerai, si besoin, la responsabilité de redonner au pays ce qui lui manque aujourd'hui, qui lui manque depuis si longtemps.
Michel THOMAS