Les Caméras de surveillance
Le Mouvement Gaulliste est formellement opposé à l'emploi des caméras de surveillance sur l'espace public ainsi qu'au sein des galeries commerciales ou de tout lieu public.
Nous dénonçons l'opération qui a conduit, durant l'été 2006, en période de vacances scolaires, le Campus de l'Université de Lyon à familiariser, sous prétexte de sécurité, les étudiants à la présence de cet procédé imcompatible avec la la liberté et la dignité humaines, en leur fournissant un questionnaire pour obtenir leur avis.
Ce formulaire n'avait pas lieu d'être soumis, d'une part, et d'autre part une telle opération, effectuée au moment où chacun est en phase de pré-rentrée, de préparatifs et d'inscriptions, voire de révisions, démontre bien la volonté d'imposer des procédures en se déchargeant au plus vite des divergences que peut leur opposer... l'opinion publique.
La question de l'insécurité ne peut être résolue par de tels procédés, même s'ils le permettaient ce qui n'est bien entendu pas le cas.
L'insécurité n'est qu'un prétexte pour supprimer jusqu'aux dernières libertés, et nous appellons tous et toutes à s'opposer, et pas seulement de manière symbolique, à cette arme gouvernementale qui n'est ni plus, ni moins, qu'un viol absolu.
Nous dénonçons l'opération qui a conduit, durant l'été 2006, en période de vacances scolaires, le Campus de l'Université de Lyon à familiariser, sous prétexte de sécurité, les étudiants à la présence de cet procédé imcompatible avec la la liberté et la dignité humaines, en leur fournissant un questionnaire pour obtenir leur avis.
Ce formulaire n'avait pas lieu d'être soumis, d'une part, et d'autre part une telle opération, effectuée au moment où chacun est en phase de pré-rentrée, de préparatifs et d'inscriptions, voire de révisions, démontre bien la volonté d'imposer des procédures en se déchargeant au plus vite des divergences que peut leur opposer... l'opinion publique.
La question de l'insécurité ne peut être résolue par de tels procédés, même s'ils le permettaient ce qui n'est bien entendu pas le cas.
L'insécurité n'est qu'un prétexte pour supprimer jusqu'aux dernières libertés, et nous appellons tous et toutes à s'opposer, et pas seulement de manière symbolique, à cette arme gouvernementale qui n'est ni plus, ni moins, qu'un viol absolu.