Municipales : Clermont-Ferrand
17 H 30 : Alors que va s'ouvrir dans trente minutes la réunion de la liste UMP, à laquelle doit assister Hortefeux , voici ce que je souhaitais dire à l'assistance et à lui-même, car je ne m'y rendrai pas.
L'échec programmé de la "Droite" , une fois encore à Clermont, repose sur son incapacité et sur son refus de tirer leçon des échecs précédents et notamment de 1995 lorsque Giscard conduisait la liste de Droite pour la mairie.
Deux engagements majeurs, pris plusieurs fois par la "Droite", et en public, n'ont pas été tenus. Il s'agit du Renouvellement et de l'Union.
Le renouvellement, besoin au-delà de l'évidence, car ce sont les mêmes qui étouffent à Droite la vie publique clermontoise depuis tant d'années. Or, même s'il n'avait existé aucune raison de perdre, la "Droite" en aurait inventé, et c'est à croire, au vu de la composition de sa liste, qu'elle le fait exprès.
L'union, toujours promise, jamais réalisée. L'une des causes pointées de plusieurs échecs précédents, et dont il n'a pas été tiré la conséquence. Puisque, alors que le Modem-ex-UDF n'a jamais eu aussi peu d'élus en France, il n'a jamais été aussi riche en adhérents et en soutiens.
Le bataillon politique qui compose cette liste, autrement dit la "Droite" clermontoise, n'a pas tenu ses engagements.
J'assure aujourd'hui que tous les habitants de bonne volonté souhaitant un véritable changement à tête de Clermont-Ferrand me trouveront pour ce combat, sur des bases claires qui ne varieront pas. La mandature qui va s'ouvrir me verra sans discontinuer apposer la critique des oeuvres municipales comme celle de l'inaction complice de la "Droite" UMP et aussi du MODEM.
Il est temps de nous débarrasser des vieilles guignes qui ont présidé aux dernières quarante années d'échec de cette "Droite", tandis que la Gauche conduit la ville depuis la Libération et par la faute de cette "Droite" s'y sera maintenue soixante-dix ans à la fin du prochain mandat.
Je ne convierai bien entendu pas l'UMP en tant que telle à ce rendez-vous, ni aucun des auteurs de la déprime, à "Droite", de la Ville, tout ce bataillon lourd qui n'a de souci qu'à préserver la politique du Maire ou les intérêts sournois de cercles entendus, et qu'à assurer son inutile, - puisque vide, toujours, - réélection.
L'échec programmé de la "Droite" , une fois encore à Clermont, repose sur son incapacité et sur son refus de tirer leçon des échecs précédents et notamment de 1995 lorsque Giscard conduisait la liste de Droite pour la mairie.
Deux engagements majeurs, pris plusieurs fois par la "Droite", et en public, n'ont pas été tenus. Il s'agit du Renouvellement et de l'Union.
Le renouvellement, besoin au-delà de l'évidence, car ce sont les mêmes qui étouffent à Droite la vie publique clermontoise depuis tant d'années. Or, même s'il n'avait existé aucune raison de perdre, la "Droite" en aurait inventé, et c'est à croire, au vu de la composition de sa liste, qu'elle le fait exprès.
L'union, toujours promise, jamais réalisée. L'une des causes pointées de plusieurs échecs précédents, et dont il n'a pas été tiré la conséquence. Puisque, alors que le Modem-ex-UDF n'a jamais eu aussi peu d'élus en France, il n'a jamais été aussi riche en adhérents et en soutiens.
Le bataillon politique qui compose cette liste, autrement dit la "Droite" clermontoise, n'a pas tenu ses engagements.
J'assure aujourd'hui que tous les habitants de bonne volonté souhaitant un véritable changement à tête de Clermont-Ferrand me trouveront pour ce combat, sur des bases claires qui ne varieront pas. La mandature qui va s'ouvrir me verra sans discontinuer apposer la critique des oeuvres municipales comme celle de l'inaction complice de la "Droite" UMP et aussi du MODEM.
Il est temps de nous débarrasser des vieilles guignes qui ont présidé aux dernières quarante années d'échec de cette "Droite", tandis que la Gauche conduit la ville depuis la Libération et par la faute de cette "Droite" s'y sera maintenue soixante-dix ans à la fin du prochain mandat.
Je ne convierai bien entendu pas l'UMP en tant que telle à ce rendez-vous, ni aucun des auteurs de la déprime, à "Droite", de la Ville, tout ce bataillon lourd qui n'a de souci qu'à préserver la politique du Maire ou les intérêts sournois de cercles entendus, et qu'à assurer son inutile, - puisque vide, toujours, - réélection.
L'intérêt des tendances, quelles qu'elles soient, et au-delà de la Droite, de l'Opposition, est que la Droite clermontoise devienne enfin majeure et autonome et ne soit plus à guetter les instructions et approbations de Valéry Giscard d'Estaing ni celle d'une fédération départementale dirigée comme par hasard par des parlementaires dont aucun n'a d'intérêt à la Ville de Clermont. Il est temps qu'elle se libère d'une tutelle d'autant plus inconcevable qu'elle s'est toujours révélée néfaste. Giscard au placard !
La Droite à Clermont, dans le Puy-de-Dôme et en Auvergne a tout perdu : les élections qu'elles convoitait, les mandats qu'elle détenait. Seule a survécu la circonscription de Louis Giscard d'Estaing. Le Conseil Général a été perdu, la Région a été perdue, Clermont n'a jamais été à portée, et si elle avait eu lieu, la victoire de 1995 aurait été à un cheveu. Même ce cheveu-là n'a pas été gagné.
Les prochains rendez-vous me verront, moi-même ou mes collaborateurs, présents aux scrutins qui comptent. Et notamment dans la 1ere circonscription pour mettre fin à la main-mise giscardienne sur les questions d'intérêt public, qui n'a que trop duré. La politique suivie par Louis Giscard d'Estaing est la même que celle suivie par la Droite clermontoise et naguère par Giscard à la Région : c'est une politique de Gauche, trompant les électeurs, et favorisant à moyen et long terme les politiques issues de la Gauche la plus idéologique et la plus progressiste.
Celui qui portera la responsabilité entière de ce nouvel échec à imposer, sinon un projet utile dont la Droite n'est pas capable, du moins une alternance de façade à Clermont, n'est autre que Brice Hortefeux même si, prudent, et fidèle aux sondages plutôt qu'à ses engagements, il a préféré ne pas conduire cette liste après avoir fanfaronné partout du contraire, c'est-à-dire qu'il voulait "prendre Clermont".
Comme je l'ai déjà dit, Clermont n'est pas le genre de fille à se donner à n'importe qui.
Portant la responsabilité de cet échec, pour avoir refusé que la Droite travaille avec moi pour conquérir la mairie, Brice Hortefeux, en application de la règle du gouvernement Fillon, devrait démissionner. L'attitude, les choix de ceux qui conduisent aujourd'hui cette liste, lui reviennent.
Vous êtes un bien triste sire, Monsieur. Retournez à Puteaux, où sans doute vous manquez. Vous n'avez jamais rien apporté aux Clermontois, et sans doute, vous ne leur apporterez jamais rien.
La Droite à Clermont, dans le Puy-de-Dôme et en Auvergne a tout perdu : les élections qu'elles convoitait, les mandats qu'elle détenait. Seule a survécu la circonscription de Louis Giscard d'Estaing. Le Conseil Général a été perdu, la Région a été perdue, Clermont n'a jamais été à portée, et si elle avait eu lieu, la victoire de 1995 aurait été à un cheveu. Même ce cheveu-là n'a pas été gagné.
Les prochains rendez-vous me verront, moi-même ou mes collaborateurs, présents aux scrutins qui comptent. Et notamment dans la 1ere circonscription pour mettre fin à la main-mise giscardienne sur les questions d'intérêt public, qui n'a que trop duré. La politique suivie par Louis Giscard d'Estaing est la même que celle suivie par la Droite clermontoise et naguère par Giscard à la Région : c'est une politique de Gauche, trompant les électeurs, et favorisant à moyen et long terme les politiques issues de la Gauche la plus idéologique et la plus progressiste.
Celui qui portera la responsabilité entière de ce nouvel échec à imposer, sinon un projet utile dont la Droite n'est pas capable, du moins une alternance de façade à Clermont, n'est autre que Brice Hortefeux même si, prudent, et fidèle aux sondages plutôt qu'à ses engagements, il a préféré ne pas conduire cette liste après avoir fanfaronné partout du contraire, c'est-à-dire qu'il voulait "prendre Clermont".
Comme je l'ai déjà dit, Clermont n'est pas le genre de fille à se donner à n'importe qui.
Portant la responsabilité de cet échec, pour avoir refusé que la Droite travaille avec moi pour conquérir la mairie, Brice Hortefeux, en application de la règle du gouvernement Fillon, devrait démissionner. L'attitude, les choix de ceux qui conduisent aujourd'hui cette liste, lui reviennent.
Vous êtes un bien triste sire, Monsieur. Retournez à Puteaux, où sans doute vous manquez. Vous n'avez jamais rien apporté aux Clermontois, et sans doute, vous ne leur apporterez jamais rien.
Il n'y aura, à l'avenir qui se dessine, aucun arrangement avec ces professionnels du complexe de l'échec à "Droite", responsable de toutes les calamités.
Pas d'arrangement avec ceux qui s'arrangent !
Pas d'arrangement avec ceux qui s'arrangent !